Le nouvel album de Cody ChesnuTT Landing On A Hundred sort en novembre prochain. Le disque a été réalisé entre Cologne en Allemagne et Memphis aux États-Unis, là où se trouve le vieux studio d’Al Green. Pour vous faire découvrir l’artiste, voici un extrait de son dernier album, sorti en 2002, Look Good in Lether.

Ce qu’on aime chez Feist, c’est cette volonté de passer la soul et le folk à l’épreuve du minimalisme. On la ressent parfaitement sur Past In Present, issu de l’album The Reminder. Pour l’enregistrer, elle s’était enfermée quelques semaines dans une bâtisse vieille de deux siècles, dans un petit village du Val-d’Oise, La Frette-sur-Seine, en compagnie des complices de toujours, Gonzales, Mocky, Jamie Lidell, et aussi du producteur Renaud Letang (Manu Chao, Jane Birkin’). Pour le résultat que l’on connaît.

Le duo LOL Boys sortait mi-juillet leur nouveau single Changes. Voici l’une des pistes maitresses de ce disque. Un brillant et planant remix de Shlohmo qui traite sous un nouveau jour ce bon titre, pour en faire quelque chose de propre à son univers que nous apprécions tant.

L’anglais Duke Dumont avait frappé un grand coup avec ce morceau : un track qui se situe entre Deep House délicate et un style UK Bass surpuissant. Accompagné d’un vocal qui donne à ce titre un côté sexy et sensuel, « The Giver » est un hymne à la fête

Le dernier Breakbot avec Another Dawn (feat. Irfane) juste avant la sortie de son album By Your Side qui est prévu pour aujourd’hui. Après Programme, voici un autre excellent single tout aussi funky !

Voici un extrait du dernier album de The xx, Coexist : Sunset. Dans la trame mystérieuse de ce morceau se niche le penchant rythmique et percussif d’un Jamie xx qu’on ne connait désormais que trop bien, enchaînant au chant avec Romy dans le style épuré qui fait tout le charme de leur musique.

Revenons sur le remix proposé par Âme présent sur le projet solo de Frank Wiedemann (lui même un des membres de ÂME) intitulé « Howling ». Cette nouvelle démonstration des Berlinois, nous expédie tout droit dans une perspective bourrée d’émotions. Fort symbole de légèreté, la magie opère naturellement et nous soulève à travers ses lourds synthés laissant derrière eux comme un drôle de bourdonnement.

Le parcours de ce garçon est sinueux : né à Bruxelles de parents congolais et angolais, il a grandi et vit en Afrique du Sud. Celui de sa musique l’est plus encore : elle télescope l’anxiété, la tension, la raideur du post-punk anglais à la transe, la liberté de la musique sud-africaine. Issu de la scène bouillonnante et toujours hip de Cape Town, Petite Noir avoue ainsi aimer à la même hauteur Lil B et Morrissey, Drake et Radiohead, ce qui pourrait expliquer un son aussi incompréhensible que familier, aussi glacé que fervent.